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 le 22 mars 2007 près de Pointe à Pitre

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MessageSujet: le 22 mars 2007 près de Pointe à Pitre   le 22 mars 2007 près de Pointe à Pitre Icon_minitimeVen 23 Mar - 11:43

Citation :
Nicolas Sarkozy à l'orée d'une nouvelle phase de sa campagne Reuters

Nicolas Sarkozy a réaffirmé jeudi soir près de Pointe-à-Pitre qu'il entendait continuer à mener sa campagne présidentielle en "homme libre" de sa parole et à "bousculer les habitudes et les tabous".

Le candidat UMP à l'élection présidentielle s'exprimait devant 2.500 Guadeloupéens acquis à sa cause mais son propos s'adressait à un public bien plus large.

Il faisait notamment allusion à sa proposition très controversée, jusque dans les rangs de ses partisans, de création d'un ministère de "l'Immigration et de l'Identité nationale".

"Je devais prendre ce risque de perturbation du milieu", a-t-il dit à des journalistes dans l'avion qui l'amenait en Guadeloupe, première étape d'une visite aux Antilles. "Depuis que je l'ai fait, j'ai pris six points dans les sondages."

La question de l'"identité" restera, avec le travail, un des principaux thèmes de sa campagne, qui entre dans une nouvelle phase après le soutien apporté à sa candidature par le président Jacques Chirac et avec son départ, lundi, du ministère de l'Intérieur.

Le président de l'UMP estime ainsi répondre, notamment, aux aspirations de ce qu'il appelle la "France du 'non'" - celle de la majorité de Français qui ont voté contre la Constitution européenne le 29 mai 2005.

"La France du 'non' est sous-jacente, elle n'a pas disparu. Je la sens", explique-t-il. "Elle ne parle pas, on ne parle pas d'elle mais elle va s'exprimer. Moi, je lui parle quand je parle de l'euro trop fort, d'Airbus, de l'identité nationale, de la politique de l'immigration."

Nicolas Sarkozy a conçu sa stratégie de campagne en "séquences". Cette semaine était celle du soutien de Jacques Chirac, la semaine prochaine sera celle de son départ du ministère de l'Intérieur. "Il y a le temps du président et il y a le temps du départ. Si j'étais parti hier, ça devenait l'événement de la journée", explique-t-il.

DEPLACEMENTS QUOTIDIENS

La semaine prochaine sera peut-être aussi celle du soutien public du ministre de l'Emploi Jean-Louis Borloo, qui fait durer le suspense.

Elle marquera également le début de "nouvelles rencontres" du candidat avec les Français, avec un déplacement par jour.

Le premier devrait avoir lieu lundi et mardi dans la région de Marseille. Il serait suivi mercredi par un déplacement dans le Nord-Pas-de-Calais et à Lille.

La semaine suivante sera celle du programme présidentiel du candidat ramassant ses propositions en une sorte de synthèse. "Je travaille sur quelque chose, les trois ou quatre idées que je veux mettre en valeur", affirme Nicolas Sarkozy.

Le président de l'UMP, qui disait à la mi-février à La Réunion qu'il commençait à "bien sentir cette élection", se montre plus prudent, bien qu'il reste en tête dans tous les sondages d'intentions de vote au premier tour.

Il veut croire à un duel avec la candidate socialiste Ségolène Royal au second tour, auquel n'accèderait donc pas le candidat de l'UDF François Bayrou, même s'il affirme pour la forme que "tout est possible".

Un second tour dans lequel il se projette tout de même. "On remettra les compteurs à zéro. Ça sera une campagne différente", explique-t-il. "Le deuxième tour, c'est rassembler pour changer. J'aurais bien expliqué le changement au premier tour, il faudra que j'explique le rassemblement au second."

Quant au président du Front national, Jean-Marie Le Pen, qui était parvenu au second tour en 2002, "je ne sais pas vraiment où il est", dit-il, tout en estimant que "la prochaine histoire" dans les médias, après la percée Bayrou, "ça sera Le Pen".

source : http://www.lexpress.fr/info/infojour/reuters.asp?id=40246&0933
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